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PROLÉGOMÈNES A UNE HYPOTHÉTIQUE CLINIQUE
DE LA VIOLENCE SEXUELLE
(inédit)
dernière mise à jour le 28 février 2018
Yves GERIN
Psychologue clinicien
Docteur en psychologie
Laboratoire Habiter-Pips, UPJV Amiens 2007-2012
Voeux du LESTAMP pour 2020
23 Juillet 2019
Toute
réflexion portant sur la prise en charge, pénale et post
pénale, du sujet agresseur sexuel suppose l’analyse
d’une réalité clinique particulièrement complexe, aux
multiples aspects intriqués, en rapport aussi bien à une
clinique du social que du sujet concerné. L'angoisse,
sinon la panique sont présentes. Les frontières
disciplinaires classiques sont moins affirmées et
d'analyser une sensibilité collective exacerbée ou on
retiendra la notion d’un malaise et d’une crise morale
relative, par hypothèse, au malaise sexuel. La
perception sociale du crime sexuel, du pervers et du
déviant, engage ainsi le rapport à une improbable
sexualité normale, à la société, à l’inconscient, à
l’insupportable et à la mort. Victimisation et
criminalisation s’imposent. Impliquent une
psychopathologie du traumatisme et de la violence.
L'injonction
de la double peine de
l'embrasement médiatique voire
judiciaire
: Honte et
pénalisation sans retour
Toujours s’impose
un traitement pénal et répressif. Celui-ci impose des
pratiques, la formalisation de peines dont la rigueur
parait s’accentuer. Celles-ci acquièrent un statut
hybride puisque associant répression et soin.
L’identité du sujet restant déterminée par des normes,
règles et institutions accordées à des techniques
d’enfermement, de mortification et de soin. On fera ici,
évidemment, référence aux travaux de M. Foucault
analysant la dialectique “Punir et soigner”(1) ainsi
qu’à la dénonciation, par C.O. Doron d’une idéologie
thérapeutique. (2)
Toute prise en charge
individualisée nous conduira ainsi à des impasses ou
contradictions ou l’on pourra identifier l’aspect
collectif, anthropologique, incarné par un sujet,
l’observation concrète d’un sujet transgressif appelé à
assumer ses responsabilités, effectuer sa peine en
milieu carcéral, puis se soumettre au soin et donc à la
médecine. Devenu avant tout sujet de l’opprobre et de
la honte, l’agresseur sexuel associe sexualité,
violence, malaise, autant d’éléments quasiment
impossibles à pleinement intégrer dans une clinique de
la singularité criminelle. Rendu, par exemple pour le
pédophile ou le violeur, l’assassin pervers, à l’idée de
crime absolu, le crime incarne l’expression, outrée,
scandaleuse, exacerbée, de l’ultime d’une sexualité
envahie par la pulsion de destruction, de mort. Toujours
fait psychique, l’agression sexuelle devient, dans la
conjoncture d’une “dictature de l’émotion”,(3)
l’argument ou des praticiens seront confrontés à la
nécessité de décrypter l’identité, psychosociale,
négative d’un sujet pénalement et
socialement condamné dans l'irrévocable. Un travail ou il conviendra de
subvertir tout réductionnisme limitant un projet
d’écoute soignante saturé par les multiples
représentations mises en jeu.
L’on sait qu’une tendance
s’impose d’un traitement social, politique et
institutionnel caractérisé par l’accroissement
significatif de la lourdeur et l’exemplarité des peines.
Celle-ci appelée par l’embrasement médiatique.
L’inflexion est nette, qui contribue à la création d’un
registre spécialisé ou l’ampleur des condamnations
correspond à la mise en cause définitive d’un sujet
entretenu dans le réductionnisme d’une représentation
sociale hostile, souvent déshumanisante. La dimension
tragique, passionnelle, alarmiste s’impose. Qui justifie
des orientations privilégiant des pratiques
ressortissant d'abord au domaine du contrôle social, de
représentation sociale correspondante.
Normes, règles et institutions
contribuent ainsi au développement de pratiques
condamnant les atteintes sexuelles mais aussi la menace
de récidives. La réalité de l’aspect cruel et inhumain
des actes domine, qui associe l’autre à l'anormal et
pervers, à l’autre soumis à une force sociale
particulièrement significative. Celui dont il convient
de diriger les pensées. Des techniques diverses, parfois
mortifiantes devant lui être appliquées, dans un
contexte de criminalisation et de sévérité. Le danger
apparaissant alors, pour les praticiens, d’une
difficulté majeure à prendre en compte une certaine
forme de radicalité du jugement, social et peut être
aussi judiciaire, punitive et carcérale. Adressé à
l’agresseur sexuel qui, figure support de projections
massives, engage la dimension paradigmatique d’une forme
d’horreur et d’indicible sexuel. La visée ultime de
l'intérêt pour la sexualité hors norme n’appelant
cependant pas l’exigence et l’originalité de la
théorisation psychopathologique et clinique, de la
recherche de la connaissance approfondie de la vie
psychique de l'agresseur, de la confusion des
diagnostics, de l'empirisme des processus
thérapeutiques.
Le sujet dissous dans
le "profilage" de la "solution pénale" socialement
obsédé par la récidive
Aveu, bonne et mauvaise foi,
deviennent l’argument essentiel évoquant la sanction du
parcours d’un criminel sexuel non amendable. Une
rhétorique de la peine se crée ou le diagnostic précis,
clair, distinct, expression d’une clinique experte et
médicale, évolue vers l’argumentation d’une mise en
cause de l’agresseur rendu à un profil caractérisé par
la dangerosité et l’immoralité. Le discours sur le sujet
associe les pratiques pénales et soignantes à la
recherche de punitions légales, ou transparaissent des
stratégies de “régénération morale”(4).Au projet
humaniste de guérison ou restauration du sujet succède
la recherche de la vérité inavouable de qui est aux
prises avec des pulsions, peut être bien, “contre
nature”. La conscience commune appelle ainsi la
nécessité d’un traitement approprié.
à la réalité
sous-jacente écoutée par la clinique répondent, en écho
le recours, la recherche de normalité, des projets
toujours limités. Les dispositifs de prise en charge
judiciaire, sanitaire, psychologique, des sujets
désignés, agresseurs mais aussi victimes, s’ils se
définissent comme thérapeutiques, sont aussi, surtout,
l’espace dévolu à l’interprétation des conduites
délinquantes. Soit, in fine à autre chose. A un travail
souvent qualifié de “profilage” ou bien d’expertise ou
de justification d’une prise en charge ”compréhensive”.
Les pratiques relatives au fonctionnement psychique
reflètent ainsi, soulignons-le, le besoin des institutions
et organisations, prioritairement judiciaires. Des
stratégies de criminalisation et catégorisation
s’imposent; Nous situerons ainsi la psychologisation mais
aussi les limites de la “compréhension" ou vérité et
sacrifice se rejoignent. Le glissement du sujet
psychique vers le sujet dissout et dissolu de
l’institution pénale. Le sujet de l’existence et de la
réalité psychique, sexuelle, corporelle est
définitivement celui de l’expérience répressive.
Toujours diffuse, toujours
présente, la menace de récidive situe le regard, les
présupposés du traitement. L’expérience des
professionnels mandatés pour la prise en charge est
celle d’une mise en cause, explicite ou tacite. Elle est
aussi celle, souvent imprécise, obscure, ou il s’agit de
tracer les contours d’un savoir incertain sur un sujet
déviant et pervers. Celui-ci, basé sur la condamnation
de faits de violence sexuelle, contribue à des discours
et des représentations déterminées par des éléments
négatifs, des éléments centraux de la problématique,
d’un regard porté sur le sujet plutôt qu’une écoute. Il
convient, dans la problématique de recherche d’analyser
l’origine de discours représentatifs situant un sujet
objet, agresseur sexuel, dont la compréhension sera
aussi une introduction au diagnostic. Dont les enjeux,
distinction, clarté, précision, ne seront plus à même de
formaliser les ruptures et discontinuités constitutives
de la vie psychique. Il s’agit aussi d’un rapport de
pouvoir, d’un rapport de force, ou s’établit la mise en
cause de la perversion d’un sujet, acteur d’une
sexualité ou transparait la lecture pénale d’une
atteinte identitaire significative. Lecture théorique et
lecture pénale sont associées là ou l’acteur, juge,
soignant assume une posture d’analyse et de contrôle.
Il s’agit ainsi d’une pratique consacrée au contrôle du
sujet à laquelle se rapporteront des éléments
d’interprétation et d’argumentation théorique. Mais
aussi de la mise en application concrète d’un corpus
savant, scientifique, psychopathologique, rapporté au
cas de l'agresseur sexuel. L’attention clinique au sujet
de la condamnation pénale et, au travers de celle-ci, à
la “Douleur du temps long”(5) suggère la notion de
”véridiction”(6).Ce qui persistera s’éloigne de
l’attention à la vie psychique et sexuelle pour
s’orienter vers la recherche approfondie autorisant la
formulation d’un énoncé autorisant la résolution
pratique. Il s'agit de préciser les conditions de la mise en
application du soin et de la punition imposées au sujet
qualifié, en fonction de sa déviance, de son immoralité, de sa pathologie et de sa dangerosité.
La
problématique, les conditions de la perception du sujet
agresseur sexuel répondent à des conditions ou le
rapport à la sexualité, à la mort, à l’inconscient, à
la société, à la race, à la folie, à la délinquance,
sont peu analysées. Des règles s’imposent où l’attention
clinique et psychopathologique est biaisée du fait de la
recherche d’aveux, ambiguïtés, contradictions. Le sujet,
objet, de savoir se fait inaudible. Le sujet de la
théorie, de la connaissance scientifique se transforme,
il devient celui de paradigmes et modèles portés par la
médecine et l’ordre pénal, ou ce qui émarge au domaine
du psychisme, de la souffrance, de la violence sadique
et perverse, est rendu au domaine de l'aveu, de la
véracité, de la conviction.. S’il y’a encore référence
au modèle psychologique, ou même psychanalytique, nous
pouvons cependant retenir, dans analyse des pratiques et
savoirs mis en jeu, par-delà ce qui reste,
indubitablement, l’exercice sans nuance d’un pouvoir de
jugement et d’expertise, la genèse d’une hésitation.
Celle-ci par rapport à la dangerosité et au changement
du sujet. Par rapport aux objectifs d’un dispositif ou
le savoir tend à se confondre avec des pratiques
discursives. L'analyse des relations de pouvoir, à
comprendre comme une tentative de définition d’un savoir
argumenté à propos d’un sujet en rupture, de son refus
des règles sociales situant la sexualité, de sa
brutalité perverse, implique la prise en considération
d’une démarche ou il encourt le risque du
dessaisissement. Là où la prise en charge soignante,
l’accompagnement d’une subjectivation pervertie et
opaque ne seraient peut être qu’un leurre ?
Quel
pratique possible des intervenants, médecins, magistrats,
psychologues ?
Accepter ou refuser les
normes, la pratique des intervenants, médecins,
magistrats, psychologues, CPIP, des agents
institutionnels, concrétise ainsi un travail d’analyse
sous tendu par la présence manifeste et prévalente de
la solution pénale répressive. Étant entendu que la mise
en application de celle-ci ne saurait jamais, en dépit
des apparences, rester véritablement neutre.
L’implication des juges et des soignants ne saurait
correspondre à la mise en application formelle et
technique d’une peine. Elle est autre chose, c’est à
dire l’engagement de la mise en cause d’un agresseur
sexuel en fonction du pouvoir, des conceptions et de la
subjectivité de qui s’engage personnellement par rapport
à une sexualité prohibée et malade. La présence de
l’ordre social est évidemment fondamentale, qui oriente
une démarche symbolique consacrée à une menace entrevue
à partir d’une sexualité hors norme.
L’intervention des
professionnels spécialisés est loin de répondre aux
conditions d’un entretien clinique et thérapeutique
ordinaire. Elle est transformée en une confrontation
directe à un sujet en résistance, sociale et psychique.
Un sujet soumis au pouvoir et à l’autorité d’un rapport
de force déterminant. L’illusoire pouvant alors
apparaître du soin et de la sollicitude annoncés. Ce qui
a trait à l'intimité, à la pulsionnalité, à la
désocialisation du sujet agresseur sexuel est-il, au fond,
un enjeu majeur? Ce qu’il faut entendre des résistances
du sujet est l’enjeu central d’une rencontre ou se
déploie le pouvoir d’un regard expert dont la fonction
reste, par-delà la recherche d’un savoir, de répondre à
l’exigence du corps social. Le recueil de données,
d’informations, répond à différentes logiques. Pas
seulement à l’élaboration d’un travail de compréhension,
judiciaire et médicale, clinique, mais aussi à la
constitution et l’exploitation d’un profil conformé à la
fonction de la peine, ses modalités d’application, au
traitement social requis. En ce sens, l’objectif
normalisant et sécuritaire insiste. Comprendre, en fait,
travailler au plus près de la subjectivité de
l’agresseur sexuel est-il toujours, au fond,
l’essentiel? Là où le discours d’aveu correspond à la
mise en cause identitaire et pénale du sujet
condamnable, sexuellement et anthropologiquement
déviant ; (M. Foucault). (6).. Soumis à l’épreuve,
l’agresseur sexuel, rendu à la mortification, au
sacrifice, tout autant qu’au soin et à la réintégration,
actualise malaisément subjectivité, identité et
sexualité au sein de la relative étrangeté d’un contexte
menaçant.
La recherche tentera ainsi de préciser l'étude
des mécanismes de projection, représentations et
rationalisations mis en jeu par les professionnels du
droit et de la santé.
Nous nous situerons au-delà de la
démarche “compréhensive ”et nous nous interrogerons,
par ailleurs à propos de l’élaboration psychique
défensive, peut être déréalisante, développée par les
sujets réprimés à propos du dispositif ou ils sont
devenus à la fois sujets et objets. On retiendra l’idée
de la théorisation d’une construction psychosociale
relative aux limites d’une sexualité transgressive. (7)
et, en ce sens, l’analyse conjointe d’une déconstruction
et d’une archéologie du savoir impliqués par la
théorisation du sujet criminel sexuel. Puis celle des
conséquences de la recherche de l’aveu, le versant ou
interviendra l’effet psychiquement destructeur
d’identité, d’investigations injonctives, emprise et
menace.
Prendre en
compte une anxiété collective face au sujet pénalisé
Cette dimension psychique
essentielle émergeant, en particulier, dans le contexte
de mise à jour, par les soignants et experts, de
tensions et divisions du sujet pénalisé soumis à une
certaine forme de psychiatrisation et
psychologisation de sa propre vérité enfouie.
Prolongeant l’idée de Foucault
théorisant une micro physique des dispositifs de
pouvoir(8), nous tenterons de situer une “tension
théorique ”ou interviendra la fixation d’une anxiété
collective relative à la sexualité, puis les effets sur
le psychisme du seuil critique de pressions,
paradoxales, exercées sur le sujet en cours de jugement
de condamnation. La conceptualisation devient
parfaitement lisible. Il s’agit de penser le
développement d’approches significatives permettant
d’intégrer le point de vue du sujet et par-delà une
certaine disponibilité à s’opposer à celui-ci. La
conjonction de l’expression des uns et des autres crée
un espace interprétatif original, dont l’unité évolue de
la recherche de l’attention prêtée à l’agresseur vers la
certitude de l’incarcération, puis, au-delà, de ses
suites. Cela dans une démarche qui ne saurait, in fine,
jamais être radicalement neutre. Puisque affectivité et
anxiété sont toujours au centre du contexte où il reste
quasiment impossible de formaliser un discours clinique
retenant une lecture exhaustive de la dynamique
psychopathologique d’un sujet astreint à l’argumentaire
requis par l’unité de la peine et de la carcéralité.
Distinguer, chez les condamnés, ce qui de l’ordre de
l’argumentaire rationnel, de l’adaptation au contexte
d’un contrôle, et la réalité de la présence inconsciente
de ce qui annoncerait d’une parole engageant le sexuel. Le point de vue des intervenants suppose des
représentations souvent insuffisamment élaborées aux
effets considérables, qui biaisent irrévocablement le
sens du travail. Le rôle des différents éléments
contextuels est ici, plus que jamais, déterminant.
Ce qui se veut être un travail
extrêmement approfondi, que ce soit en contexte carcéral
ou bien probatoire, renvoie les différents acteurs,
agents de détention, soignants ou personnels
pénitentiaires, juges ou CPIP, aux limites d’entretiens
toujours soumis à des déterminants sous-jacents relatifs
à la sanction et à la menace répressive latente jamais
véritablement disparue. Retrouver ici les fondamentaux
d’une clinique reste donc essentiellement complexe,
voire improbable.
La
première partie sera celle de l’attention au discours
des sujets agresseurs sexuels condamnés, à leur
histoire, à leur perception intime du soin et de la
peine, à l’aspect essentiel du travail de
stigmatisations subies.
La deuxième situera les enjeux des prises en charge, le
positionnement des différents acteurs soignants, la
réalité plurielle et équivoques de démarches qualifiées
de psychothérapiques, mais dans les faits, pénales.
BIBLIOGRAPHIE REFERENTIELLE ORDONNEE
et notes correspondantes
numérotées.
7) Barret. R (1998). La construction sociale de la
schizophrénie, Plessis-Robinson, Synthélabo.
3) Bensoussan, P., Rault, F. (2002).
La dictature de
l’émotion, .Paris, Belfond.
2) Doron, C.O. (2010).”La volonté de soigner, d’un
singulier désir de soin dans les politiques pénales».
In: La philosophie du soin, Paris, P.U.F, 283-300.
1)
Foucault, M. (1993).
Surveiller et punir, Paris,
Gallimard.
4)
Foucault, M. Ibidem 1.
6)
Foucault. M (1976).La volonté de savoir. In.
Histoire de
la sexualité, Tome 2, Paris, Seuil.
8) Foucault. M.
(2004). Sécurité, territoire, population. In Cours au
Collège de France, 1977, 1978, Paris, Gallimard/Seuil.
5) Huguet, M. (1987).
L’ennui ou la douleur du temps.
Paris, Masson.
Mise en place
corrections et structuration de cet texte inachevées (jr
26 fév. 2018)
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- L'hypothèse
d'une crise identitaire de la psychologie. Théorisation,
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La psychose est relue comme rupture psycho-sociale, ce qui permet une théorisation articulant la psychose du côté de la désocialisation, la théorie de l'affect étant sollicitée comme pont. Cette dynamique de l'interrogation débouche sur un examen des significations socio-idéologiques et des signifiants collectifs sur le refoulement psycho-social de la souffrance.
ISBN : 2-7384-5916-1 • 1997 • 368 pages
EAN13 : 9782738459169
EAN PDF : 9782296350441
Thèse de doctorat de
Yves Gérin :
Psychologie
Soutenue en 1995
Psychologie
Soutenue en 2010
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2018
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Sociologie Philosophie Esthétique Sémiologie Anthropologie
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